La baisse des prix de l’immobilier devrait s’accélérer dès le mois de septembre
Les prix de l’immobilier devraient chuter d’ici la fin de l’année 2023, une accélération de la baisse est attendue dès le mois de septembre.
Les conditions d’habitatà Mayotte sont très précaires, avec un logement sur trois en tôle, révèle jeudi une enquête réalisée par l’Insee entre 2013 et 2014 à Mayotte et dévoilée par Jamel Mekkaoui, responsable de l’antenne du département.
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"Les conditions de vie sont très précaires, en tout castrès loin des standards métropolitains ou des autres départements des Outre mer. 37% de logements sont en tôle, soit 1 logement sur 3", affirme M. Mekkaoui.
Il présentait les résultats de cette enquête réalisée d’octobre 2013 à mars 2014 sur l’état du logement dans le 101e département français dans l’Océan indien. Plus de 2.000 ménages ont été interrogés sur l’ensemble du territoire.
Pour M. Mekkaoui, si l’accès à l’eau a beaucoup progressé dans les logements, il n’est pas généralisé : "Encore 28% des ménages n’ont pas l’eau à l’intérieur des maisons et de manière générale, le confort sanitaire de base demeure minoritaire sur le territoire", a-t-il expliqué à l’AFP.
Le responsable de l’Insee locale explique ces conditions précaires par la situation de Mayotte, où 84% de la population vitsous le seuil de pauvreté métropolitain et où la richesse par habitant est 4 fois inférieure à celle de la métropole.
D’après M. Mekkaoui, les natifs de Mayotte résident principalement dans des maisons en dur sans les toilettes et les douches à l’intérieur ; ceux de l’étranger, en particulier originaires des Comores, se partagent majoritairement entre les logements en tôle et les logements en dur sans les toilettes et les douches ; tandis que les natifs de métropole sont essentiellement dans un marché locatif pourvu de tous les équipements élémentaires.
Selonce responsable, "un peu moins d’un ménage sur trois se déclare insatisfait de son logement à Mayotte". Ce qui n’empêche pas "quatre ménages sur 10" d’envisager de "changer de logements", et notamment "6 ménages sur 10" parmi ceux qui résident dans des logements en tôle.
Les logements sociaux sont quant à eux encore peu nombreux, un peu plus de 200 en 2017, un peu moins au moment de l’enquête.
"La demande est forte et l’avenir nous dira quelle est la capacité du territoire pour construire des logements sociaux nécessaires pour permettre aux habitants d’y habiter", conclut le responsable de l’antenne de l’Insee à Mayotte.
Les prix de l’immobilier devraient chuter d’ici la fin de l’année 2023, une accélération de la baisse est attendue dès le mois de septembre.
Le remaniement du gouvernement Borne se dote de nouveau d’un ministère du logement, le ministre Patrice Vergriete, est un expert du domaine avec de nombreux succès à la clé.
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